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A la découverte du jeu MonPetitGazon !
MonPetitGazon, l’interview décalée !
MonPetitGazon est le nouveau jeu fantasy sport à la mode. Créé en 2011, ce jeu de football en ligne compte aujourd’hui plus que 680 000 joueurs (en croissance naturelle de 150% depuis la création).
Fort d’un secteur concurrentiel important, MonPetitGazon parvient à se démarquer grâce à son ton humoristique ainsi que des projets internationaux de plus en plus importants.
- Tout d’abord, peux-tu te présenter ?
Martin, co-fondateur et jardinier paysagiste
- Peux-tu expliquer à nos lecteurs le concept de MonPetitGazon ?
“Avant de commencer, tu réalises un mercato avec un budget de 500 Millions d’euros sur le principe des enchères. Et puis, chaque week-end, tu défies un ami et le bats (par exemple 2-0) si tes joueurs jouent bien dans la vraie vie (si t’as Mariano dans ton équipe et qu’il marque, ça te fait un but dans MPG).
On s’est donné comme mission de rendre les lundis matins sympas en chambrant ou en se faisant chambrer par nos amis.”
Pour plus de détails, vous pouvez visionner cette vidéo explicative :
- Et pourquoi avoir choisi ce nom de « Mon Petit Gazon » ?
“Parce qu’on voulait un nom qui fasse marrer les gens et facile à retenir.”
- Comment vous est venue cette idée de concept ?
“On s’est inspiré des concepts de fantasy qui existent depuis un bout de temps dans les pays anglo-saxons et notamment d’un jeu français qui s’appelait Fantaleague qu’on a repimpé et dont on a modifié des règles pour faire le jeu qui nous faisait marrer.”
- Quel est donc votre business model ?
“L’application est totalement gratuite, tout comme l’inscription. On se base alors sur 2/3 de publicités et 1/3 de freemium (options payantes).”
- Comment s’est déroulé votre développement vers d’autres championnats, d’autres pays ?
“On a lancé le concept en Espagne (MiGranDelantera) et en Angleterre (MyLittleNuts) mais pas assez de joueurs à notre gout aujourd’hui.”
- Des projets futurs ? Un développement vers d’autres pays, la Domino’s Ligue 2, vers le rugby ?
“On a des tonnes d’idées mais faut qu’on priorise.
Soit creuser notre sillon dans le foot et ouvrir à d’autres pays fans de foot en Europe ou ailleurs. Soit horizontaliser et faire d’autres sports.
Ça dépendra de notre croissance et donc de nos recrutements pour mener à bien tous ces projets.”
- Quels liens entretenez-vous avec le monde sportif ? Les ligues professionnelles ? Les joueurs ?
“On a trouvé un accord avec la Ligue de foot française (LFP), les joueurs commencent à nous connaitre car ils reçoivent plein de tweets de la communauté MPG.
On a également été invité à la FFF pour présenter notre concept, on commence à faire des conférences dans le foot.
J’ai l’impression qu’on commence à être connu dans l’eco-système foot.”
- Vous adoptez un style décalé, humoristique, envers certains joueurs sur vos réseaux sociaux, pourquoi avoir fait ce choix ?
“On parle sur nos réseaux sociaux comme on parle dans la vraie vie entre amis. L’idée de MPG, c’est d’être naturel, d’être un grand café du commerce virtuel. On fait les mêmes blagues que tu fais surement avec tes amis.
C’est ça le foot qu’on aime, celui qu’on vit en étant passionné, mauvais esprit, roublard… Pas le foot business sans aspérité.
Et enfin quelques questions basiques, simples.”
- Plutôt foot ou rugby ?
“FOOT”
- Panenka ou tacle appuyé ?
“La panenka évidemment, y’a d’ailleurs un journal espagnol cool qui a repris ce nom. Parce que c’est un état d’esprit : le mec qui fait ça est un fou, un créatif, ça donne du piment au foot (ou alors c’est un gars qui veut juste humilier le goal et ce n’est pas terrible).”
- Et la plus dure pour la fin, Patrice Evra ou Serge Aurier ?
“On aime bien que les 2 ne se mettent pas de cadre dans leur communication. Les seflies vidéo de Pat, c’est quand même n’importe quoi, mais bon t’entends tout le temps le ILoveThisGame mine de rien. Serge, c’était quand même les plus gros cuissots de L1. En revanche c’est son frère qui est très border.”
Si tu ne t’es pas encore inscrit, voici le lien https://www.monpetitgazon.com/#landing
Un grand merci à Martin Jaglin pour le temps qu’il nous a accordé et sa disponibilité.
Interview et article rédigés par Benjamin Gruzelle
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